L'éducation



En R.D.C nous avons le problème d’analphabétisme il y a 80% analphabète.
Et sur le 80% les femmes sont nombreuses il y a l'injustice au niveau de la communauté elle même.
Les parents privilégient les enfants garçons pour étudier et laissent les filles à la maison pour tout les travaux domestiques, ils ont un langage qui dit que les études des femmes se termines à la cuisine car on ne donnaient pas aux femmes les travaux ou la prise de décision mais seulement les hommes.Mais avec la présence des ONG s qu'ont commence maintenant à donner les femmes aussi une petite place.parents intéressent leurs filles à faire vite le mariage même si elles sont encore minière pour qu'elles quittent à leurs chargent. Les Il y a aussi les maris qui trompent les filles qu’elles vont les prendre à mariage et elles vont continuer les études dans leurs foyés mais après leurs mariages ces hommes refusent à leurs femmes de continuer les études.La femme se trouve dans l'impossibilité de continuer les études car ce son mari qui doit la soutenir sur le moyen financier car elle même n'a le travail.Les parents aussi à leurs tour disent que la fille mariée elle ne plus à leurs charge ont ne pas l'aider à continuer ces études car ce pour l’intérêt de son mari.



English translation by PulseWire member aheraud



In the DRC we have a problem with illiteracy - about 80% of people are illiterate and of those 80%, there are many women. There is injustice everywhere, even at the community level. Parents value boys over girls, allowing them to study and keeping girls at home to do domestic work. There is a saying that women's studies stop in the kitchen ("a woman's place is in the kitchen") because only men and not women have a place in other work and decision making. However, with the presence of NGOs women are starting to have a small place in society. Parents push daughters to marry quickly, even if they are still minors, so that they will no longer be dependant on their parents. There are also men who convince women to marry them with the promise of continuing their studies, but once married and settled into their new homes, these men refuse to make good on their promises. Women often cannot continue their studies because they are dependant on their husbands financially and have no financial freedom or work of their own. Parents contribute to this, stating that a married daughter is no longer of their concern and her education has little value to a husband.

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