L'impact de covis 19 dans la communauté



Nous sommes des data scientists, c’est-à-dire que notre travail consiste à comprendre comment analyser et interpréter les données. Lorsque nous analysons les données relatives au COVID-19, nous sommes très inquiets. Les personnes les plus vulnérables de la société, les personnes âgées et les démunis, sont les plus exposées.



Pour contrôler la propagation et l’impact de la maladie, nous devons tous changer notre comportement. Lavez-vous les mains soigneusement et régulièrement, évitez les groupes et les foules, annulez les événements et ne vous touchez pas le visage. Dans ce billet, nous expliquons pourquoi nous sommes inquiets, et pourquoi vous devriez l’être également. Pour un excellent résumé des informations clés que vous devez connaître, lisez Corona in Brief d’Ethan Alley (le président d’une association à but non lucratif qui développe des technologies pour réduire les risques de pandémie).



Face à la pandémie de nouveau coronavirus qui continue de prendre de l’ampleur, Oxfam prépare l’ensemble de son système d’aide humanitaire pour porter assistance aux personnes les plus pauvres et les plus marginalisées, afin de les préparer à la vague d’infections qui les attend.



Dans le cadre de notre réponse à cette pandémie, tout comme dans d’autres situations d’urgence, nous travaillerons en étroite collaboration avec nos partenaires sur le terrain et les soutiendrons autant que possible.



Notre priorité est de soutenir les personnes les plus vulnérables, en particulier celles qui vivent dans des environnements à haut risque, comme les camps de réfugié-e-s ou les zones urbaines surpeuplées.



Nos équipes intensifient actuellement les opérations de distribution d’eau potable, d’assainissement, y compris la mise en place de points d’eau pour se laver les mains, ainsi que la distribution de matériel d’hygiène, comme le savon. Nous menons un travail de sensibilisation à l’hygiène auprès des communautés, nous leur distribuons argent et nourriture ainsi que d’autres produits essentiels.



Oxfam est très préoccupée des effets du coronavirus si la pandémie se propage dans les pays pauvres qui ont des systèmes de santé publique fragiles et où les populations sont déjà confrontées aux nombreuses menaces qui pèsent sur leur santé et leurs moyens de subsistance. Nous craignons également que les effets seront dévastateurs si la maladie frappe les camps de réfugié-e-s et d’autres lieux où les gens ont déjà du mal à accéder aux soins de santé ou à se nourrir.



Les femmes sont particulièrement susceptibles d’être les plus touchées : 70 % des travailleurs et travailleuses de la santé dans le monde sont des femmes, et elles seront en première ligne du risque d’infection. Par surcroît, les femmes assument l’énorme fardeau des soins non rémunérés dans le monde, et celui-ci va considérablement augmenter, qu’il s’agisse de soigner des parents malades ou de s’occuper des enfants à la maison parce que les écoles sont fermées.



Aidez Oxfam à sauver des vies



Nous sommes actuellement en première ligne pour prévenir la catastrophe dans certains des endroits les plus vulnérables du monde et soutenir nos partenaires sur le terrain afin de sauver le plus de vies possible. Nous avons le pouvoir d’agir pour sauver des millions de vies dès maintenant : les populations les plus vulnérables, les plus pauvres et les plus à risque. Nous avons besoin de votre aide avant qu’il ne soit trop tard.



« La COVID-19 représente une crise dévastatrice et sans précédent qui nous touche tous, partout. Aucune région ni aucun pays ne sont épargnés. C'est un moment décisif de l'histoire de l'humanité », a souligné le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, dans un récent appel à l’allègement de la dette des pays pauvres, en supplément du moratoire décidé par le G20.



Si la progression attendue de la pauvreté concerne toutes les régions, le monde en développement est appelé à payer le prix le plus lourd. Selon la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), la croissance - déjà faible - des économies du continent va enregistrer cette année un recul variant de 1,8 % à 3,2 %. En conséquence, entre 5 et 29 millions de personnes pourraient plonger sous le seuil de pauvreté extrême de 1,90 dollar par jour.



Les chercheurs ont utilisé les données de la Banque mondiale pour mesurer les effets de la réduction des sommes d'argent dépensées dans les économies à trois niveaux de pauvreté : 1,90, 3,20 et 5,50 dollars par jour. Il ressort de leurs travaux que même si la consommation diminuait de 5 pour cent soit le plus faible impact modélisé, cela conduirait à une augmentation mondiale de la pauvreté liée au revenu. Plusieurs décennies de progrès seraient ainsi effacées.



La crise liée à la COVID-19 doit, selon eux, être l'occasion pour les États de « repenser leurs priorités, par exemple en introduisant et en améliorant les systèmes universels de santé et de protection sociale, ainsi qu'en mettant en œuvre des réformes fiscales progressives ». Une façon de « construire un avenir meilleur pour leurs populations, et non des fosses communes ».



Nous sommes des data scientists, c’est-à-dire que notre travail consiste à comprendre comment analyser et interpréter les données. Lorsque nous analysons les données relatives au COVID-19, nous sommes très inquiets. Les personnes les plus vulnérables de la société, les personnes âgées et les démunis, sont les plus exposées.



Pour contrôler la propagation et l’impact de la maladie, nous devons tous changer notre comportement. Lavez-vous les mains soigneusement et régulièrement, évitez les groupes et les foules, annulez les événements et ne vous touchez pas le visage. Dans ce billet, nous expliquons pourquoi nous sommes inquiets, et pourquoi vous devriez l’être également. Pour un excellent résumé des informations clés que vous devez connaître, lisez Corona in Brief d’Ethan Alley (le président d’une association à but non lucratif qui développe des technologies pour réduire les risques de pandémie).



Face à la pandémie de nouveau coronavirus qui continue de prendre de l’ampleur, Oxfam prépare l’ensemble de son système d’aide humanitaire pour porter assistance aux personnes les plus pauvres et les plus marginalisées, afin de les préparer à la vague d’infections qui les attend.



Dans le cadre de notre réponse à cette pandémie, tout comme dans d’autres situations d’urgence, nous travaillerons en étroite collaboration avec nos partenaires sur le terrain et les soutiendrons autant que possible.



Notre priorité est de soutenir les personnes les plus vulnérables, en particulier celles qui vivent dans des environnements à haut risque, comme les camps de réfugié-e-s ou les zones urbaines surpeuplées.



Nos équipes intensifient actuellement les opérations de distribution d’eau potable, d’assainissement, y compris la mise en place de points d’eau pour se laver les mains, ainsi que la distribution de matériel d’hygiène, comme le savon. Nous menons un travail de sensibilisation à l’hygiène auprès des communautés, nous leur distribuons argent et nourriture ainsi que d’autres produits essentiels.



Oxfam est très préoccupée des effets du coronavirus si la pandémie se propage dans les pays pauvres qui ont des systèmes de santé publique fragiles et où les populations sont déjà confrontées aux nombreuses menaces qui pèsent sur leur santé et leurs moyens de subsistance. Nous craignons également que les effets seront dévastateurs si la maladie frappe les camps de réfugié-e-s et d’autres lieux où les gens ont déjà du mal à accéder aux soins de santé ou à se nourrir.



Les femmes sont particulièrement susceptibles d’être les plus touchées : 70 % des travailleurs et travailleuses de la santé dans le monde sont des femmes, et elles seront en première ligne du risque d’infection. Par surcroît, les femmes assument l’énorme fardeau des soins non rémunérés dans le monde, et celui-ci va considérablement augmenter, qu’il s’agisse de soigner des parents malades ou de s’occuper des enfants à la maison parce que les écoles sont fermées.



Aidez Oxfam à sauver des vies



Nous sommes actuellement en première ligne pour prévenir la catastrophe dans certains des endroits les plus vulnérables du monde et soutenir nos partenaires sur le terrain afin de sauver le plus de vies possible. Nous avons le pouvoir d’agir pour sauver des millions de vies dès maintenant : les populations les plus vulnérables, les plus pauvres et les plus à risque. Nous avons besoin de votre aide avant qu’il ne soit trop tard.



« La COVID-19 représente une crise dévastatrice et sans précédent qui nous touche tous, partout. Aucune région ni aucun pays ne sont épargnés. C'est un moment décisif de l'histoire de l'humanité », a souligné le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, dans un récent appel à l’allègement de la dette des pays pauvres, en supplément du moratoire décidé par le G20.



Si la progression attendue de la pauvreté concerne toutes les régions, le monde en développement est appelé à payer le prix le plus lourd. Selon la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), la croissance - déjà faible - des économies du continent va enregistrer cette année un recul variant de 1,8 % à 3,2 %. En conséquence, entre 5 et 29 millions de personnes pourraient plonger sous le seuil de pauvreté extrême de 1,90 dollar par jour.



Les chercheurs ont utilisé les données de la Banque mondiale pour mesurer les effets de la réduction des sommes d'argent dépensées dans les économies à trois niveaux de pauvreté : 1,90, 3,20 et 5,50 dollars par jour. Il ressort de leurs travaux que même si la consommation diminuait de 5 pour cent soit le plus faible impact modélisé, cela conduirait à une augmentation mondiale de la pauvreté liée au revenu. Plusieurs décennies de progrès seraient ainsi effacées.



La crise liée à la COVID-19 doit, selon eux, être l'occasion pour les États de « repenser leurs priorités, par exemple en introduisant et en améliorant les systèmes universels de santé et de protection sociale, ainsi qu'en mettant en œuvre des réformes fiscales progressives ». Une façon de « construire un avenir meilleur pour leurs populations, et non des fosses communes ».



Nous sommes des data scientists, c’est-à-dire que notre travail consiste à comprendre comment analyser et interpréter les données. Lorsque nous analysons les données relatives au COVID-19, nous sommes très inquiets. Les personnes les plus vulnérables de la société, les personnes âgées et les démunis, sont les plus exposées.



Pour contrôler la propagation et l’impact de la maladie, nous devons tous changer notre comportement. Lavez-vous les mains soigneusement et régulièrement, évitez les groupes et les foules, annulez les événements et ne vous touchez pas le visage. Dans ce billet, nous expliquons pourquoi nous sommes inquiets, et pourquoi vous devriez l’être également. Pour un excellent résumé des informations clés que vous devez connaître, lisez Corona in Brief d’Ethan Alley (le président d’une association à but non lucratif qui développe des technologies pour réduire les risques de pandémie).



Face à la pandémie de nouveau coronavirus qui continue de prendre de l’ampleur, Oxfam prépare l’ensemble de son système d’aide humanitaire pour porter assistance aux personnes les plus pauvres et les plus marginalisées, afin de les préparer à la vague d’infections qui les attend.



Dans le cadre de notre réponse à cette pandémie, tout comme dans d’autres situations d’urgence, nous travaillerons en étroite collaboration avec nos partenaires sur le terrain et les soutiendrons autant que possible.



Notre priorité est de soutenir les personnes les plus vulnérables, en particulier celles qui vivent dans des environnements à haut risque, comme les camps de réfugié-e-s ou les zones urbaines surpeuplées.



Nos équipes intensifient actuellement les opérations de distribution d’eau potable, d’assainissement, y compris la mise en place de points d’eau pour se laver les mains, ainsi que la distribution de matériel d’hygiène, comme le savon. Nous menons un travail de sensibilisation à l’hygiène auprès des communautés, nous leur distribuons argent et nourriture ainsi que d’autres produits essentiels.



Oxfam est très préoccupée des effets du coronavirus si la pandémie se propage dans les pays pauvres qui ont des systèmes de santé publique fragiles et où les populations sont déjà confrontées aux nombreuses menaces qui pèsent sur leur santé et leurs moyens de subsistance. Nous craignons également que les effets seront dévastateurs si la maladie frappe les camps de réfugié-e-s et d’autres lieux où les gens ont déjà du mal à accéder aux soins de santé ou à se nourrir.



Les femmes sont particulièrement susceptibles d’être les plus touchées : 70 % des travailleurs et travailleuses de la santé dans le monde sont des femmes, et elles seront en première ligne du risque d’infection. Par surcroît, les femmes assument l’énorme fardeau des soins non rémunérés dans le monde, et celui-ci va considérablement augmenter, qu’il s’agisse de soigner des parents malades ou de s’occuper des enfants à la maison parce que les écoles sont fermées.



Aidez Oxfam à sauver des vies



Nous sommes actuellement en première ligne pour prévenir la catastrophe dans certains des endroits les plus vulnérables du monde et soutenir nos partenaires sur le terrain afin de sauver le plus de vies possible. Nous avons le pouvoir d’agir pour sauver des millions de vies dès maintenant : les populations les plus vulnérables, les plus pauvres et les plus à risque. Nous avons besoin de votre aide avant qu’il ne soit trop tard.



« La COVID-19 représente une crise dévastatrice et sans précédent qui nous touche tous, partout. Aucune région ni aucun pays ne sont épargnés. C'est un moment décisif de l'histoire de l'humanité », a souligné le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, dans un récent appel à l’allègement de la dette des pays pauvres, en supplément du moratoire décidé par le G20.



Si la progression attendue de la pauvreté concerne toutes les régions, le monde en développement est appelé à payer le prix le plus lourd. Selon la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), la croissance - déjà faible - des économies du continent va enregistrer cette année un recul variant de 1,8 % à 3,2 %. En conséquence, entre 5 et 29 millions de personnes pourraient plonger sous le seuil de pauvreté extrême de 1,90 dollar par jour.



Les chercheurs ont utilisé les données de la Banque mondiale pour mesurer les effets de la réduction des sommes d'argent dépensées dans les économies à trois niveaux de pauvreté : 1,90, 3,20 et 5,50 dollars par jour. Il ressort de leurs travaux que même si la consommation diminuait de 5 pour cent soit le plus faible impact modélisé, cela conduirait à une augmentation mondiale de la pauvreté liée au revenu. Plusieurs décennies de progrès seraient ainsi effacées.



La crise liée à la COVID-19 doit, selon eux, être l'occasion pour les États de « repenser leurs priorités, par exemple en introduisant et en améliorant les systèmes universels de santé et de protection sociale, ainsi qu'en mettant en œuvre des réformes fiscales progressives ». Une façon de « construire un avenir meilleur pour leurs populations, et non des fosses communes ».



 

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