PROTECTION DU PARC NATIONAL DE KAHUZI BYEGA

PROTECTION DU PARC NATIONAL DE KAHUZI BYEGA

A partir des années écoulée les pygmées vivaient delà cueillette, chasse, et de ramassage; aux années 1975 ILS ont été expulsés dans leur propre entité par le gouvernement congolais, et rend cette forêt étant parc national de kahuzi byega;)PNKB) qui est aujourd’hui la base de la pauvreté illimité chez les pygmées.

AU jourd’huis les pygmées restent sans terres et vivent dans un misère aux villages à la proximité du parc.

Certaines femmes et filles pygmées sont souvent traité comme des esclaves en cachète dans de famille bantu pour chercher à sur vivre leur familles pygmées; car toute la famille est supportée par la femme.

Les autres femmes tentent d’aller chercher les bois dans le parc pour échauffe elles sont arrêté souvent par les gardes parc.

NOUS n’avons pas d’avantage et nous ne profitons rien, aux avantage du PNKB car nous sommes méprisées le gouvernement et aucune femme pygmée qui peut être engagée comme travailleur au parc.

Une forêt qui été notre bien propre mais nous en profitons rien, sauf l’oxi gène et la pluie.

Le projet ini tient en faveur de la population vivant au rivage de ce parc

Sont profitable par d’autre femme qui ne sont pas même vasine de ce dernier. Parfois, nous somme discriminer par les femmes bantu qui ne veulent pas écouter la voix de pygmée dans tout les domaines. Alors, nous somme minimisées ce pourquoi nous sommes arrêt art dans tout les plans: éducatif, sanitaire socioculturelles…. Or, Ilya plusieurs ONG qui interviennent dans la province du Sud-Kivu et en RDC en général qui se pré tendant pourtant défendre nos causes.

SI une fois répondre positivement à notre requête, vous aurez énormément contribué al‘amélioration de vie de femmes pygmées; comme fait souvent l’organisation, asbl P.F.PA qui est l’unique organisation qui a milité auprès de certains chefs coutumiers du territoire de kalehe en province du sud –Kivu en vue d’octroyer plus de75hectare de terre propre aux pygmées de lacheferri de buloo et buhavu; c’est une fois dans l’histoire de la RDC.

Malgré que nous somme méprisées, et discriminer; nous continuons toujours a collaboré avec d’autres femmes et filles vulnérables comme nous et autre communauté locales.