VIOLENCE DOMESTIQUE

Paradoxalement au propre sens qu’on donne au terme « violence » dans notre société, la violence n’est pas seulement basée sur le fait d’infliger à une femme ou une fille de passer à l’acte sexuel avec elle sans sa volonté, mais tenant compte de ce qui se passe dans nos sociétés, notamment africaines. Ce terme peut avoir une place sur tous les plans de la vie en général et particulièrement dans nos familles.
En effet, tel que le mariage est la cellule mère de la famille, de même, nos familles constituent la base de notre société. Ainsi, la violation d’un droit d’un membre de la famille par un ou par d’autres membres de sa familles, constitue un goulot d’étranglement non seulement dans des familles mais aussi dans la société tout entière. Cependant, nous pouvons dire que si notre société africaine et surtout congolaise, semble être dominée par des violences de tout genre et à tout les niveaux, c’est parce que ce genre d’antivaleur est de plus en plus visible dans nos familles et cela se produit soit par l’un des conjoints envers l’autre, soit par l’un ou les deux parents envers leurs familles et parfois entre les enfants face à leurs parents.
Pour bien expliciter notre thème, certains cas concrets peuvent nous servir d’exemples dans ce journal. Le plus pire est de constater que dans nos familles, la valeur de la femme est piétinée de temps en temps tout comme son respect en tant que mère de famille ne lui est pas octroyé. Il suffit qu’un homme fasse arrivé son conjoint chez lui pour lui montrer sa réalité, car tant de nos sœurs, mères et autres souffrent seules pour garantir leurs familles, le père part en voyage et laisse toutes les charges familiales à sa femme entre autre : soins médicaux, la scolarité des enfants, la nourriture, etc. pourtant la responsabilité de la famille revient à tous les deux. Par contre d’autres travaillent sans repos. Elles se réveillent de bonheur et débutent les travaux ménagers, toute la journée, entré de chercher à manger pour les enfants et les soirs elles doivent préparer à manger pour la famille sans oublier que la nuit, en dépit de la lassitude de la maman ; elle doit encore se divertir avec son mari, peut importe sa volonté, quelque soit dans la période gestionnaire (de grossesse) ou pas, elle doit tout faire. Contrairement à cela, elle sera châtier, si pas renvoyer chez elle.
Outre, certaines femmes aussi sont à la base de cette violence domestique en ce sens qu’en interprétant mal le mot « parité » elles cherchent à se placer au dessus des leurs maris dans des familles.
Eu égard à tout ce qui est susmentionné, il nous semblera nécessaire de montrer que la violence n’est pas seulement basé sur le sexe mais dans la famille, elle peut être causé par une des parties (homme, femme ou enfant) en défaveur d’une autre partie.

- Que les droits de la femme soient respectés dans toute circonstance et dans tous les domaines.
- Donnons à la femme l’accès au travail de qualité qui lui permettra de répondre aux besoins primaire et secondaire de sa famille.
- Que vive la femme et les enfants.

English translation by community member liannareed

Domestic Violence

Paradoxically to the proper sense of the term “violence” in our society violence is not only based on the infliction of a sexual act on a women or a girl without her desire. Violence also involves taking into account what is happening in our society, notably to the Africans. This term [violence] can have a place in all walks of life in general and particularly in our families.

Indeed, as marriage is the mother cell of the family, even so, our families make up the foundation of our societies. So the violation of a right of a member of the family by one or by multiple members of the family constitutes barrier not only in our families but also in the society as a whole. However we can say that if our African society and in particular Congolese seems to be dominated by violence of all sorts and at all levels it is because this kind of act is more and more visible in our families. This occurs either by one or another of the spouses, by one or another of the parents or sometimes between the children and their parents.

To better explain this theme, certain concrete cases can serve as examples in this journal entry. The worst case is observed in our families where the value of the women is trampled on from time to time as she is not granted respect as a parent. It suffices that a man can arrive at his conjugal home to show her the reality because both of our sisters, mothers and others suffer alone to protect their families. The father goes on a trip and leaves all of the family responsibility to the women: medical care, schooling for the children, food, etc. But the responsibility of the family comes back to the two of them and some women work without rest. They get up early and start the daily work before going out to look for food for the children and at night she has to cook for the family without forgetting that the night despite the mother’s tiredness, has to still amuse her husband, no matter her own desires and sometimes even during pregnancy. She has to do it all. If she does not abide she could be punished or possibly sent home.
Other women are also at the base of this domestic violence in the sense that they misinterpret the word “parity.” They look for a place above their husbands in marriage. Considering all that has been mentioned, it seems to us necessary to show that the violence is not only based on the sex but in the family. It can be caused by one of the parties (man, woman, child) to the detriment of another part of the family.

-That the rights of women are respected in all circumstances and in all areas.
-That women are given access to quality work and that permits her to respond to both the primary and secondary needs of the family
-Long live the woman and the children