CAMPAGNE 50% SUR LA PARITE EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO



Sous l'impulsion des femmes congolaises de la province du Sud-Kivu, la campagne 50% sur la parité venait d'être mis e en place. A ce sujet, une étude sur la participation équitable des femmes au sein des institutions venait d'âtre publiée par l'observatoire de la Parité au Sud-Kivu. De cette étude, il s'avère que le quota y relatif n'est jamais été respecté.
D'autre part, un projet de loi sur la parité homme-femme au sein des institutions continue à être à l'étude, car elle venait d'être renvoyée par le sénat à la chambre basse.
C'est alors que les femmes Leaders des organisations de la Société civile du Sud-Kivu ont examiné ce projet de loi, c'est alors qu'elles ont découvert de nombreuses irrégularités.;
Parmi ces irrégularités, il revient que la constitution de la République accord 50% de participation aux femmes au sein des institutions. Le projet de loi quand à lui fixe ce taux à 30%. Cependant, depuis plusieurs années, en dépit de nombreuses revendications initiées par les femmes, leur quota est toujours au rabais, car, il n'a jamais atteint les 30%.
Par ailleurs, les instruments juridiques Internationales reconnaissent tous ces acquis en faveur des femmes, malheureusement, on constate que dans certains pays africains les tenants du pouvoir trainent encore les pas.
De tout ce qui précède, la femme congolaise, longtemps meurtrie ne doit plus continuer à rester passive. Elle a pris conscience de sa situation, c'est alors qu'avec l'accompagnement de INTERNATIONAL MEDICAL CORPS "IMC", qui est jusque là notre partenaire , plusieurs activités sont en voie de réalisations, et ce en vue de faire amener les hommes à promouvoir le genre.



English translation by community member rits



The 50% Parity Campaign in the Democratic Republic of the Congo



The 50% parity campaign was launched thanks to the driving force of Congolese women in Sud-Kivu province. A study about women's equal participation in institutions had just been published by the Observatoire de la parité in Sud-Kivu, which showed that the quota was never respected.



Additionally, an institutional gender parity bill remains under consideration, since it was just sent back to the lower chamber by the Senate.



That is when female leaders of Sud-Kivu's civil society organizations examined the bill and found many irregularities.



Among these irregularities, the constitution of the Republic grants women 50% of positions within institutions. The bill only sets the quota at 30%. However, despite women's numerous demands over the past several years, this quota was never respected and has never reached 30%.



International legal instruments recognize these rights for women; however, we have found that in some African countries, those in power are still dragging their feet.



In conclusion, Congolese women, who have long been kept down, must no longer remain passive. They have become aware of their situation, and along with INTERNATIONAL MEDICAL CORPS “IMC”, who has been our partner until now, many activities are being planned to encourage men to advance gender issues.

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