JOURNEE INTERNATIONALE DE lA FEMME RURALE



Les femmes rurales vivent de l’agriculture, élevage, pêche, cueillette et la chasse, en dehors de cela elles n’ont aucune voie pour la survie de leurs familles. Ces activités aident à la scolarité des enfants… Chose étonnante après avoir sué en obtenant leur rendement, le bénéfice devient au profit des maris au moment où les femmes étaient seul sans appui ni aident quand elles luttaient pour avoir de quoi vivre. Ces derniers gaspillent la somme obtenue en buvant avec leurs amis en oubliant le travail fournis par ces femmes en vue d’en obtenir. Dans ce cas, ce sont les enfants qui sont pénalisés .Parfois les jeunes quittent les villages et viennent étudier en ville sous la responsabilité de ces mêmes femmes pour avoir les frais scolaire ou académique, de quoi manger, soins médicaux … par grande surprise, dans le discours de ces jeunes après avoir terminer les études ils injuries les femmes rurales, les sous-estiment soient disant qu’elles puent , passent toute la journée en étant sale…ils oublient que grâce aux travaux pénibles de ces femmes rurales qu’ils sont devenues les cadres. Par exemple les femmes qui viennent des villages aux alentours de la ville de Bukavu transportant les légumes sont négligés par plusieurs personnes voir même les femmes modernes en oubliant que grâce à elles nous obtenons à manger si elles ne descendent pas la population Bukavienne peut peiner sur le plan alimentaire.
Les hommes ruraux s’arrangent d’épouser plusieurs femmes au profit de leurs intérêts car ils disent : « le nombre des femmes équivaut au nombre des champs» cela veut dire que chaque femme doit nécessairement s’appropriée d’un champ pour la survie de sa progéniture ; et les hommes croisent les bras entrer de jouer au mangùra, mucuba, jeu de dame, consommer la boisson sans avoir le souci de la famille, si la femme ne s’efforce pas …
En bref, la femme rurale traverse une situation pénible, elle est soumise à l’esclavagisme moderne, elle n’obtient jamais les félicitations et encouragements dans tout ce qu’elle fait malgré toutes les efforts fournis. C’est ainsi nous prions à leurs maris de respecter les droits de la femme, elle n’est pas une machine, un cheval à transporter, un esclave qu’on doit gérer comme on veut. Nous appelons à tout le monde de respecter les droits de la femme rurale. En suite nous plaidons aux autorités politiques de disposer des machines cultivatrices à ces femmes rurales.



English translation by community member heidigjr



Rural women live off agriculture, livestock, fishing, hunting, and gathering, without which they will not have the means to support their families. These activities help pay for their children's education... Surprisingly, after sweating through their hard work, it is the husbands who benefit from it during those times where women are alone without support nor help, struggling to make a living. They squander these earnings by drinking with their friends, forgetting the work these women had put in. In this case, it is the children who are penalized. Sometimes the youth leave their villages to study in the city, with academic costs, food and medical expenditure taken care of by these rural women. However, surprisingly, after completing their studies, they insult and underestimate these very same women by saying that they stink and are dirty all day... they forget that they have become executives through the backbreaking work of these women. For example, women who come from the villages surrounding Bukavu, carrying vegetables, are overlooked by many people, even modern women. They forget that we get to eat thanks to these rural women; the food supply for the Bukavian population would be affected otherwise.
Rural men arrange to marry several women, which they say is in their interests because "the number of women is equal to the number of fields." This means that every woman inevitably needs to claim a field for their offspring's survival. Meanwhile, the men cross their arms playing the mangùra, the mucuba, the "lady game", and drink without any care or concern for their families, as if their wives were not struggling...
In short, rural women live through a difficult situation, where she is subjected to modern slavery and never gets any praise or encouragement in everything that she does, despite all her efforts. This is why we beg our husbands to respect women's rights. Women are not machines, horses for transportation, or slaves that are at your beck and call. We ask everyone to respect the rights of rural women. We then can plead with political authorities to get farming equipment for rural women.

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