LA TECHNIQUE DE GESTION DE DECHETS EN RDC

Des solutions pour l’Environnement : Traditionnellement, la gestion de déchets urbains, industrielles et commerciaux consistait à les récupérer puis à les stocker une fois collecter divers traitements peuvent être appliqués aux déchets. Le but de ce traitement peut être de réduire la dangerosité des déchets de le revaloriser les matériaux par le recyclage de produire de l’énergie à partir des déchets ou encore réduire leurs volumes pour pouvoir en disposer plus facilement. Les méthodes de récupération varies beaucoup entre le différents pays et régions et il serait impossible de les décrire tous. Beaucoup de régions surtout dans le pays de moins développés n’ont pas des systèmes structurés de récupération de déchets. Dans les agglomérations canadiennes les tris sélectifs est la méthode la plus rependue de la récupération de déchets et/ou de recyclable et des déchets organique suivant un planning définie dans certaines régions rurales les habitants amène leurs ordures dans de lieu de collecte ; les déchets ainsi récoltés sont en suite transporter vers une décharge régionale par exemple. Les méthodes de stockage varies aussi beaucoup en Australie par exemple ma méthode la plus courante de stockage de déchets solides est la décharge car le pays est vaste et la densité de la population est faible. A l’opposé au japon par exemple il est plus fréquent d’incinérer les déchets car le pays est petit et la place est rare.
1. Décharge (site d’enfouissement) : l’élimination de déchet se traduit toujours enfin d’opération par une décharge ni l’incinération ni le compostage ne dispense de la tâche approprier. Stocker les déchets dans une décharge est la méthode la plus traditionnelle de s’en débarrasser et encore la plus courante dans la plus part de pays. Historiquement, les décharges étaient souvent établaient dans des carrières, des mines ou des trous. Utiliser une décharge qui minimise les impacts sur l’environnement peut être une solution saine et à moindre coût pour stocker les déchets ; néanmoins une méthode plus efficace sera sans aucun doute requise lorsque les espaces libres appropriées diminueront. Les dépotoirs mal gérés peuvent avoir des forts impacts sur l’environnement comme l’éparpillement des déchets par le vent l’attraction des vermines et le polluant comme les lixiviats qui peuvent s’infiltrés et polluer les nappes phréatique. Un autre produit de décharge contenant de déchet nocif est le biogaz. Les caractéristiques d’une décharge moderne sont des méthodes de rétention de lixiviation tel que les couches d’argile ou de bash plastics les déchets entreposes doivent être compacté et recouvrent pour éviter d’attirer les souris et les rats et éviter l’éparpillement. Beaucoup de décharges sont aussi équiper de système d’estration de gaz installé après le recouvrement pour extrait le gaz produit par la décomposition de déchets. Son biogaz est souvent bruler dans une chaudière pour produir de l’électricité ; il est même préférable pour l’environnent de bruler ce gaz que de laisser s’échapper dans l’atmosphère ce qui permet de consumer le méthane un gaz à effet de serre encore plus nocif que le dioxyde de carbone, une partie de ce biogaz peut mettre aussi utiliser comme carburant. Certains s’oppose aux décharges quelque soit les conditions ou les lieux en expliquant qu’au final le stockage en décharge laissera une planète véritablement polluée. Certains futurologues ont décolorés que les décharges seront les mines du futur comme certaines ressources s’appauvrissent on pourra justifier qu’il est nécessaire de les extraire de décharge ou elles avait été enfouirent considère alors comme non réalisable cet état de fait est la prise en compte croissante des impacts de la consommation excessive des ressources a permis dans plusieurs régions d’accroitre les efforts pour minimiser la quantité de déchets mise en décharge. Ces efforts sont la mise en place des taxes ou prélèvement sur les déchets mis en décharge, recyclage des matériaux, leur transformation en énergie, la conception de produit nécessitant moins de ressource et une législation imposant aux fabriquant la prise en charge de coût d’emballage et de stockage des déchets. Un sujet connexe est le concept d’écologie industriel où flux de matière entre les industries sont étudier le sous produit d’une industrie peuvent être utile à une autre cela permet de réduire le flux de déchets.
2. Incinération : est le processus de destruction d’un matériau en le brulant ; elle est souvent appelé « énergie a partir des déchets » ou « de déchets vers l’énergie » Ces appellations sont trompeuse puisqu’il y a d’autres façon de récupérer de l’énergie a partir de déchet sans directement le bruler. L’incinération est connue pour être une méthode pratique pour ce débarrassé de déchet contaminé comme les déchets médicaux biologique. Elle est une technique éprouvée et rependue dans les pays développés comme dans les pays envoie de développement même si elle est soumise en controverse pour plusieurs raisons. La controverse concerne généralement les problèmes environnementaux et sanitaires liés aux incinérateurs qui ont fonctionnés dans le passé avant l’application des normes actuels. Il faut que nous les congolais nous ayons la bonne technique de gestion des déchets pour n’est pas polluer notre nature qui est très nécessaire pour la génération présente mais aussi et surtout pour la génération avenir. Merci
  , leur transformation en énergie, la conception de

English translation by community member Evjoy

Waste Management Techniques in the DRC

Solutions for the Environment: Traditionally, urban, industrial and commercial waste management consisted of collecting waste and then storing it once several treatments could be applied to the waste. The goal of this treatment can be to make the waste less dangerous, to repurpose materials through recycling, to produce energy from the waste, or reduce the volume of the waste to dispose of it more easily. Collecting methods vary a lot from country to country and region to region and it would be impossible to describe them all. Many regions, particularly in less developed countries, do not have structured systems of salvaging waste. In Canadian cities, selective sorting is the most common method of collecting waste and/or recyclables and organic waste, following a defined schedule in certain rural regions. Residents take their garbage to a collection site where the collected waste is then transported to a regional landfill for example. Methods of storing also vary quite a bit in Australia for example. Their most common method of storing solid waste is in a landfill as the country is vast and the population density is sparse. It is the opposite case in Japan for example. Incineration of waste is more frequent as the country is small and space is hard to come by.

1. Landfill (waste interment site): the elimination of waste always leads to waste being dumped in a landfill. Neither incineration nor composting dispenses of this pertinent task. Storing waste in a landfill is the most traditional waste management method and is the most modern method used in most of the country. Historically, waste was often stored in quarries, mines, or holes. Employing waste that has a minimal impact on the environment may be a healthy solution and cost less to store the waste. Nevertheless, a more effective method of storage will be required without a doubt as free space suitable for waste storage diminishes. Poorly managed garbage dumps may have a big impact on the environment by means of the wind or vermin scattering waste and pollution such as lixiviats that may pollute the ground water. Another waste product containing harmful elements is biogas. Characteristic of modern waste is the retention methods of lixiviation such as clay reinforced layers or **. Plastic waste stored must be compacted and re-covered to avoid attracting mice and rats and avoid scattering waste around. Many landfills are equipped with systems of gas extraction after covering up the landfill to capture the gas produced in the decomposing process. This biogas is often burned in a boiler to produce electricity. It is better to burn this gas than to let it escape into the atmosphere. Allowing it to escape would lead to the consumption of the methane gas, a dangerous gas more harmful than carbon dioxide. A part of this gas could also be used as a carburant. Some oppose rubbish dumps regardless of the conditions or location of landfill sites explaining that in the end, storing waste will leave this planet terribly polluted. Certain futurists have declared that landfills will be the mines of the future. As some resources become scarce, we will be able to justify the necessity to extract them from landfills where they have been buried, long considered as unfeasible. This state of affairs increasingly takes into account the impact of excessive consumption of resources today in several regions and the growing efforts to minimize the quantity of waste dumped into landfills. These efforts include establishing taxes on waste dumped in landfills, recycling of materials, transforming waste into energy, designing products to use fewer resources, and passing legislation that imposes a storage-waste handling charge on factories. A related subject is the concept of industrial ecology where the flow of materials entering industries is studied; the sub-product of an industry can be utilized in another product allowing a reduction in the flow of waste.




2. Incineration: this is the process of destroying a material by burning it up. It is often referred to as “energy from waste” or “waste transformed into energy”. These names are misleading because there are other ways to capture energy from waste without directly burning it. Incineration is known as a practical way to get rid of contaminated waste like biomedical waste. It is a tried and tested technique in many developed countries and developing countries, even though this technique is controversial for many reasons. The controversy generally concerns environmental and sanitary issues connected to incinerators that have operated in the past before the application of present norms. We, the Congolese, must have the best technique for waste management in order to keep from polluting our nature, nature that is necessary for the present generation and especially for future generations. Thank you.

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