Lettre ouverte à Madame Olive Lembe Kabange , Première dame de la République Démocratique Du Congo



Objet : votre contribution pour aider les femmes paysanne à accéder aux crédits



Par la présente, je voudrais vous adresser mes encouragements pour la lutte contre l’inégalité dont souffre la femme congolaise.
Vous ne cessez de poser des actions pour aider tant soit peu les femmes et les jeunes désœuvrées dans les provinces où vous visitez.
Votre esprit d’initiative ne cesse jamais à étonner plus d’un ; vous avez plus touché notre conscience lors que, lors des du sommets des Chefs d’états du COMESA vous avez plaider pour que les états membres prennent en cause les activités des femmes entrepreneures dans les petites et moyennes entreprises(PME). Cette initiative nous a beaucoup encourager dans le sens que nous même encadrons les femmes actives dans les activités génératrices de revenu au niveau locale. Notre vision c’est vivre dans une société où les hommes et les femmes, jeunes filles et garçons contribueront à un état de droits et du bien être sociales des communautés en se basant sur les principes de solidarité, de la démocratie et de l’égalité entre les sexes.
Madame, nos observations lors de nos descente sur le terrain nous ont montrer que les femmes en ville ont un peu de facilité d’accès aux crédits par rapport à celles qui vivent dans les villages, chefferies et territoires, raison pour laquelle toutes les banques et coopérative d’épargnes et de crédits sont installées dans des villes .si une femmes paysannes doit demander un 50 dollars de crédit elle est obligée de parcourir les distance pour arriver là où elle doit retirer l’argent, peut être aussi prendre en charge son séjour .
Nous osons croire qu’il est possible pour les femmes paysannes de bénéficier des crédits si elles se constituent en groupe solidaires, les faire confiance comme elles n’ont pas de garantie et les accompagner dans des petites activités génératrices de revenu. Jusqu’à un niveau où elles de viendrons autonomes. C’est question de faires les premiers pas, écouter ces femmes , échanger avec elles de la manière dont elles pensent progresser et oser commencer .la confiance et le courage sont capables d’apporter de changements positifs.
S’il vous plait Madame, en attendant que la préoccupation du plaidoyer trouve des solutions au niveau de la région, est ce vous permettez à notre organisation de continuer les échanges avec vous, pour voir comment développer des stratégies et mécanismes pour que les femmes paysannes aient accès à des petits crédits et développer les affaires en créant des petites entreprises des femmes paysannes.
Nous restons confiante en votre savoir faire et savoir écouter pour une collaboration meilleur, plein des résultats
Marie Rose SHAKALILI
coordinatrice AFeSoDD/Sud Kivu



English translation by community member PilarAlbisu



Open Letter to Madame Olive Lembe Kabange, First Lady of the Democratic Republic of Congo



Subject: your contribution to help rural women have access to credit



With the present letter, I would like to offer you my encouragement in your fight against the inequality faced by Congolese women.



You never stop working towards helping women and unoccupied youth in the provinces that you visit.



Your initiative continues to amaze so many. We were most touched during the summit of the COMESA Heads of State, when you pleaded with the member states to take women entrepreneurs in small and medium sized enterprises (SME’s) into consideration. This initiative really encouraged us, as we too work with women who are involved in income-generating activities at the local level. Our vision is to live in a society where men and women, young girls and boys, contribute to a state of rights and social well-being based on the principles of solidarity, democracy, and gender equality.



Madame, our work on the ground has shown us that women in the city can access credit more easily in comparison to women who live in villages, chefferies, and territories. This is the reason that all the banks and credit cooperatives are located in cities. If a rural woman must ask for a credit of 50 dollars, she is forced to travel a long distance to withdraw the money, which may take up her entire day.



We believe that rural women may benefit from credits if they form part of coalition groups. These groups would inspire their trust (given that they do not have a guarantee) and will be with them step-by-step in their small income-generating activities until they become autonomous. It’s a matter of taking the first steps: listening to women, discussing with them how they plan to progress, and simply daring to begin. Confidence and courage can bring about positive change.



Please, Madame, while we wait for the appeal to show results at the regional level, would you allow our organization to continue these exchanges? In this way, we may see how to best develop strategies and mechanisms to allow rural woman access to small credits, thus developing business in general by creating small enterprises run by rural women. We are confident that your know-how and your open ears will bring about better collaboration and noticeable results.



Marie Rose Shakalili
Coordinator, AFeSoDD/South Kivu

Like this story?
Join World Pulse now to read more inspiring stories and connect with women speaking out across the globe!
Leave a supportive comment to encourage this author
Tell your own story
Explore more stories on topics you care about